Fil rouge

← Retour au journal

mars 2013

In case of fire break the glass - "Je préfère cramer mes ailes par les deux bouts pour ma liberté je crèverai debout"

Aussi loin que je me souvienne j'ai toujours aimé le feu, je me suis toujours trouvé une affinité avec cet élément. Chaud, parfois au point de brûler, vif et soudain au point d'en devenir dangereux et incontrôlable, dévorant tout sur son passage et si le vent l'attise l'eau le calme et l'éteins. Ses braises peuvent rester chaudes pendant de longues heures. Braises. Est ce ce que j'ai laissé de mon ancien journal ? Sans cesse je me dis de ne plus y écrire, que cette page devait être tournée - sans être oubliée - que pour avancer il faut de nouvelles bases. Et pourtant ce (...)

Cracher son venin - "Je préfère cramer mes ailes par les deux bouts pour ma liberté je crèverai debout"

"...au point que ses primaires c'est black out..." Cette phrase, j'ai senti mon regard se voiler un court instant, je me suis senti me figé et puis je l'ai regardé un bref instant. Cet instant du 'ah bon y a pas qu'à moi que cela arrive'. Souvent ses cours font échos, et je ne cesse de me dire que c'est bien d'avoir cours sur tout cela et d'un autre côté je lutte pour ne rien montré de mes sentiments dans ces moments. Mais je fixais trop mon banc, je chipotais trop avec mes mains...Tous ces gestes que je connais je ne parvenais pas à les annihiler. "...il ne faut pas sous estimer la (...)

Time break - "Je préfère cramer mes ailes par les deux bouts pour ma liberté je crèverai debout"

mer mes ailes par les deux bouts pour ma liberté je crèverai debout" Time break Jeudi 7 mars 2013 à 14h24 Je m'accorde un jour off mais demain j'y retourne toute la journée, comme je l'ai fait lundi-mardi et mercredi. Mais vu mon état hier soir je ne pouvais pas enchaîner, ça m'aurait vraiment trop mené au point de rupture. Tendu. Toute la journée je me suis senti tendu. A plusieurs reprise je me suis forcé à baisser mes épaules, à essayer de me détendre mais rien n'y faisait. Il a fallu quelques heures pour que ça passe, les parties de me3 ayant aidé à ce niveau. C'était (...)

"Je vous exècre" aurait dit le mini-moi - "Je préfère cramer mes ailes par les deux bouts pour ma liberté je crèverai debout"

761. C'est le compte auquel j'ai pu m'arrêter, dans le train. J'ai pu m'arrêter à sept cent soixante & un de compter pour ne pas flancher, ne pas penser et pleurer ou autre. Je ne supporte pas d'écrire ces mots, je ne me supporte plus. Le seul réconfort c'était les noms de mes amis, certes en France MAIS j'm'en fout, au moins y a Milk et les autres mais surtout Milk et France ou pas j'm'en tape j'm'en tape, ce serait même l'Australie il resterait là. Et pourtant je ne veux pas lui parler de ceci, ce serait irrespectueux de ma part. Mais ce n'est pas grave. Lui il est là. J'ai pas (...)